Consulter une sophrologue à Gragnague : pourquoi est-ce pour vous, les femmes ?
Stressée, vous ?
Vous vivez une vie à cent à l’heure, entre le travail, la maison, les enfants, le conjoint… Tous les matins en vous levant, vos remettez votre cape de Wonder Woman et attaquez la journée avec détermination.
Sauf que cela devient de plus en plus difficile, jour après jour. La cape s’use, la détermination faiblit. Vous manquez d’énergie. Vous avez beau essayer de vous motiver, de rester positive, l’envie n’est plus là. Et la tristesse s’installe.
Pourtant, vous savez que vous avez tout pour être heureuse ! Mais rien n’y fait, vous vous sentez de moins en moins disponible pour votre conjoint, vos enfants. Et la culpabilité s’installe.
Alors vous essayez de prendre un peu de temps pour vous, n’est-ce pas ce que vous entendez partout ? Prenez du temps pour vous et tout ira mieux. Mais dans cet emploi du temps surchargé, c’est un réel effort de trouver le moindre créneau. Trouver comment prendre ce temps devient une chose à gérer supplémentaire, et vous en avez déjà bien assez. Et puis pour quoi faire ? Aller à la piscine ou au cours de gym en regardant l’horloge ? Et la frustration s’installe…
Comment s’en sortir ?
Gérer le stress grâce à la sophrologie pour les femmes
Le stress au féminin
Savez-vous que les personnes qui consultent des sophrologues sont à plus de 96 % des femmes ? Et vous savez pour quelle raison ? Elles sont presque 96,5 % à vouloir mieux gérer leur stress. Leur âge ? Entre 30 et 50 ans. Comme vous qui me lisez je parie.
Pourtant me direz-vous, vous ne vous sentez pas plus stressée que ça. Courir partout est devenu une routine pour vous. Sauf que là, vous n’y arrivez plus.
Le stress féminin est bien réel. Les hommes contenant plus leurs émotions, il existe bien un stress féminin différent de celui de l’homme. La plupart des femmes ont plusieurs vies, ce qui engendre une gestion du temps complexe : la vie professionnelle, la vie de maman, la vie de femme, la vie “domestique”, etc. C’est ce que l’on appelle depuis quelques années la charge mentale. Qui peut être atténuée quand le conjoint participe à la vie de la maisonnée, mais qui reste bien présente pour les femmes.
De plus, la femme qui se rapproche de la ménopause est plus sensible (en raison des hormones sécrétées par les ovaires qui diminuent à cette période de sa vie). Bref, si vous rajoutez à tout cela que la femme va demander trop souvent de l’aide quand son seuil de résistance est déjà dépassé, le cocktail est explosif !